L’organisation de l’équipe commerciale est un sujet que nous retrouvons très souvent au cœur des missions Cartelis. Que ce soit dans un contexte de structuration initiale ou de réorganisation plus profonde, c’est toujours la même problématique qui revient : comment faire en sorte que l’organisation serve réellement la performance commerciale ?
Car trop souvent, les équipes sont structurées par héritage, selon des schémas devenus inefficaces avec le temps.
Dans cet article, notre objectif est double :
- Dresser un panorama clair des principaux modèles d’organisation commerciale : full-cycle, SDR/AE, pod, organisation par verticale, approche hybride…Nous les passons au crible, avec leurs avantages et leurs limites.
- Vous donner une méthode pragmatique pour structurer (ou restructurer) votre équipe Sales : à partir de votre contexte, de vos irritants actuels et de vos objectifs, comment choisir et mettre en œuvre une organisation qui fonctionne ?
Sommaire
Accélérez votre transformation RevOps avec Cartelis
Cartelis vous accompagne dans la mise en place et l’optimisation de votre stratégie RevOps pour aligner Marketing, Ventes et Customer Success autour d’un objectif commun : la croissance de votre chiffre d’affaires.
Diagnostic stratégique | Choix des outils | Déploiement opérationnel
Prendre contact avec CartelisPourquoi (re)penser l’organisation de votre équipe commerciale ?
L’organisation de votre équipe commerciale n’est pas un sujet RH ou un simple arbitrage de management, c’est un levier structurant de performance. En B2B, une organisation mal calibrée a un coût direct : leads mal traités, délais de réponse trop longs, mauvaise couverture des comptes, tensions avec le marketing. À l’inverse, une organisation claire, pensée en fonction des parcours d’achat et des profils de clients, permet de mieux convertir, avec moins de ressources.
Voici 3 raisons de structurer ou repenser l’organisation de votre équipe commerciale :
#1 Une organisation empirique qui atteint ses limites
Dans de nombreuses entreprises, l’organisation commerciale s’est construite au fil de l’eau. Un commercial historique devenu manager, une équipe SDR créée en réaction à une croissance des leads, un Customer Success ajouté pour gérer les comptes existants…
On aboutit à des rôles flous, des recouvrements de périmètre et/ou un manque de coordination transverse.
Or, les cycles de vente se sont allongés. Ils impliquent plus d’interlocuteurs côté client. Les décisions sont prises collectivement, parfois sur plusieurs mois. Cela nécessite plus de spécialisation, de la clarté dans la passation des dossiers et une coordination en continu.
Une organisation figée ou mal définie devient vite un frein à la croissance.
#2 Un prérequis pour fiabiliser la gestion des leads
L’organisation commerciale n’est pas seulement un enjeu interne, elle conditionne la manière dont votre entreprise traite les leads entrants.
- Si personne ne sait à quel moment un lead devient “mûr”, il n’est jamais appelé au bon moment.
- Si le marketing transmet des MQL sans retour, la boucle de qualification ne se referme pas.
- Si les SDR ne savent pas à quel moment transmettre un lead à un AE, vous perdez des deals
(Re)penser l’organisation commerciale, c’est aussi mettre à plat le funnel, clarifier les rôles et structurer les transferts. C’est un prérequis pour aligner Sales et Marketing autour d’une gestion des leads efficace.
#3 Un socle pour une croissance plus scalable
À mesure que votre activité se développe, le volume de leads, le nombre d’opportunités et la diversité des comptes augmentent. Une équipe commerciale « artisanale », avec des profils généralistes, ne peut pas absorber cette complexité.
Il faut donc répartir les rôles, spécialiser les compétences, automatiser une partie des relances, structurer la coordination entre marketing, ventes et post-vente.
Autrement dit, c’est l’organisation commerciale qui permet à votre machine de vente de scaler sans exploser.
Ce sujet est au cœur de l’approche RevOps. Vous pouvez approfondir avec notre guide sur les fondamentaux d’une démarche RevOps.
Les principaux modèles d’organisation commerciale
Il n’existe pas une seule organisation commerciale idéale. Le bon modèle dépend en réalité de plusieurs paramètres : votre cycle de vente, la maturité du marché, votre volume de leads, la taille de votre équipe, votre segmentation client, etc.
Ce qui compte, ce n’est pas de reproduire un modèle à la lettre, mais d’adopter une structure adaptée à votre contexte, vos objectifs et vos moyens.
On vous présente ici les principaux modèles d’organisation des équipes Sales, avec à chaque fois leurs avantages, leurs limites et les contextes dans lesquels ils fonctionnent.
Modèle | Présentation |
---|---|
Modèle généraliste | Un seul commercial prend en charge tout le cycle de vente, de la prospection à la signature, voire au suivi client. Ce modèle simple est souvent utilisé dans les jeunes structures ou petites équipes. |
Modèle spécialisé SDR / AE | Les SDR se concentrent sur la prospection et la qualification, tandis que les AE assurent la phase de closing. Cette séparation permet une montée en compétence par fonction, mais exige une coordination rigoureuse. |
Modèle en pod (ou équipe transverse) | Chaque pod regroupe des profils complémentaires (SDR, AE, CSM) responsables d’un segment ou territoire. L’objectif est d’assurer une proximité client et une meilleure coordination entre fonctions. |
Modèle par segment ou typologie de clients | L’organisation est structurée par typologie de clients (PME, ETI, grands comptes) ou secteur (SaaS, industrie…). Cela permet de personnaliser l’approche, mais peut générer des silos si la coordination fait défaut. |
Modèle hybride | Les entreprises combinent plusieurs modèles selon les contraintes et enjeux business. Ce modèle flexible permet de tester, adapter et structurer progressivement l’organisation commerciale. |
#1 Le modèle généraliste
C’est le modèle historique : un même commercial prend en charge l’intégralité du cycle de vente, de l’identification du prospect jusqu’à la signature…et parfois même au-delà, avec des missions de suivi ou d’onboarding.
C’est souvent le point de départ naturel pour les structures jeunes ou les petites équipes, car il permet de démarrer vite, avec peu de profils. Mais cette polyvalence a ses limites dès que les volumes augmentent ou que le cycle de vente se complexifie.
Avantages :
- Bonne connaissance des prospects : le même interlocuteur suit tout le parcours.
- Organisation simple à piloter, adaptée aux petites structures.
- Convient bien à des cycles de vente courts et peu complexes.
Limites :
- Moins efficace sur les cycles longs ou impliquant plusieurs parties prenantes.
- Le commercial passe du temps sur des tâches à faible valeur (prospection, relances…).
- Difficile de scaler : tout repose sur la polyvalence et la charge du commercial.
À privilégier si :
- Vous êtes en phase de lancement ou early-stage.
- Vous avez une équipe restreinte.
- Le nombre de leads entrants est limité.
#2 Le modèle spécialisé SDR / AE
C’est aujourd’hui l’un des modèles les plus répandus dans les organisations B2B. Il introduit une première spécialisation des rôles commerciaux :
- Les SDR (Sales Development Representatives) d’un côté, qui se concentrent sur la détection d’opportunités : prospection, qualification, prise de rendez-vous.
- Les AE (Account Executives), de l’autre, qui gèrent la négociation et la conclusion des deals.
Cette organisation permet de monter en compétence sur chaque étape, de mieux gérer les temps forts du funnel et d’augmenter le volume de leads traités. Elle suppose en revanche une coordination étroite et une définition rigoureuse des critères de passage de relais.
Avantages :
- Meilleure réactivité sur les leads entrants.
- Optimisation du temps : les AE se concentrent sur les opportunités à forte valeur.
- Possibilité de spécialiser les profils et de les faire monter en compétences sur une mission bien définie.
Limites :
- Risque de friction dans la passation SDR –> AE.
- Le lead peut être « perdu » entre deux interlocuteurs si les rôles ne sont pas bien définis.
- Nécessite un volume de leads suffisant pour justifier la spécialisation.
À privilégier si :
- Vous avez un bon volume de leads entrants ou une stratégie outbound forte.
- Votre cycle de vente est structuré et nécessite plusieurs points de contact.
- Vous souhaitez améliorer votre capacité de traitement sans augmenter la charge de vos closers.
#3 Le modèle en “pod” (équipe transverse)
Ce modèle s’inspire largement des organisations agiles. Il consiste à créer de petites équipes autonomes (les “pods”), chacune responsable d’un segment ou d’un territoire. Un pod réunit des profils complémentaires : SDR, AE, Customer Success, voire un profil marketing ou data.
Avantages :
- Forte proximité avec le client et son parcours.
- Meilleure coordination entre les métiers (Sales, Customer Success, parfois Marketing).
- Capacité à tester des approches ou messages spécifiques par pod.
Limites :
- Coordination inter-pods plus complexe à mesure que l’organisation grandit.
- Risque de duplication des efforts si les rôles ne sont pas bien clarifiés.
- Moins adapté si votre équipe est encore restreinte.
À privilégier si :
- Vous avez plusieurs verticales métiers ou segments cibles.
- Vous souhaitez responsabiliser davantage vos équipes locales.
- Vous êtes dans une logique d’expérimentation terrain rapide.
#4 Le modèle par segment ou par typologie de clients
Dans ce modèle d’organisation commerciale, l’équipe commerciale est structurée non pas par étapes du funnel, mais par types de clients. On se retrouve avec des commerciaux dédiés aux PME, d’autres aux grands comptes ou bien avec des équipes commerciales organisées par secteur (SaaS, industrie, retail…).
C’est un modèle qui séduit les entreprises à forte couverture marché ou à cycle de vente très hétérogène, mais il requiert une bonne coordination inter-équipes pour éviter l’effet silo.
Avantages :
- Meilleure compréhension des problématiques propres à chaque segment.
- Possibilité de personnaliser davantage l’approche commerciale.
- Meilleure performance sur les cycles de vente complexes ou à plusieurs décideurs.
Limites :
- Risque d’effets de silo si les équipes segmentées ne communiquent pas entre elles.
- Complexité accrue dans le pilotage et l’allocation des ressources.
- Moins efficace si les volumes sont trop faibles par segment.
À privilégier si :
- Vous adressez plusieurs marchés ou cibles très distinctes.
- Votre cycle de vente varie fortement selon le profil du client.
- Vous disposez de suffisamment de ressources pour alimenter chaque segment.
#5 Le modèle hybride
Dans la réalité, peu d’organisations appliquent un seul modèle “pur”. Le plus souvent, elles construisent une structure hybride qui combine plusieurs logiques selon les ressources disponibles, le niveau de maturité ou les enjeux business.
Par exemple : une cellule SDR/AE pour les leads entrants, un modèle full-cycle pour les clients existants ou une verticalisation par comptes stratégiques couplée à des pods pour les PME.
Avantages :
- Flexibilité maximale.
- Adaptation fine aux spécificités internes et marché.
- Possibilité de tester plusieurs modèles en parallèle.
Limites :
- Complexité organisationnelle à piloter.
- Risque de flous sur les responsabilités et les handovers.
- Nécessite un effort renforcé de coordination et de gouvernance.
À privilégier si :
- Vous êtes dans une phase de croissance ou de structuration progressive.
- Vous souhaitez tester plusieurs modèles avant d’unifier votre approche.
- Vous avez des contraintes fortes (volume, ressources, hétérogénéité des cibles).
Quel que soit le modèle retenu, son efficacité dépend moins de sa forme que de sa mise en œuvre. Et cela passe par la mise en place d’une gouvernance claire et une bonne coordination entre les parties prenantes.
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Prendre contact avec CartelisComment structurer (ou restructurer) son équipe Sales ?
Structurer son équipe Sales, ce n’est pas appliquer un modèle sur étagère. C’est un exercice de cadrage fin, qui part du réel : vos volumes de leads, vos cycles de vente, vos irritants opérationnels.
L’objectif n’est pas de viser l’organisation parfaite, mais celle qui fonctionne pour vous.
Dans cette partie, on vous propose une méthode en 4 étapes pour poser les bases d’une organisation commerciale efficace, évolutive et alignée sur vos enjeux business.
Étape #1 – Partir de votre contexte business
Avant de réfléchir à un modèle d’organisation ou à des titres de poste, il faut poser les bases et partir de votre contexte.
Quelques questions simples pour cadrer le périmètre :
- Quelle est la taille de votre équipe aujourd’hui ? Et jusqu’où voulez-vous aller ?
- Quel est le volume de leads générés chaque mois ? Sont-ils chauds, froids, entrants, sortants ?
- Quel est le cycle de vente type ? Quelques jours ? Plusieurs mois ? En un seul rendez-vous ou en quatre étapes ?
- Quels canaux de génération privilégiez-vous ? Inbound ? Outbound ? Événementiel ?
- À quels types de clients vous adressez-vous ? PME ? Grands comptes ? Marché de niche ?
Cette première phase permet d’exclure certains modèles inadaptés et de mieux cerner vos priorités.
Étape #2 – Identifier les irritants actuels
On restructure rarement une équipe commerciale « pour faire mieux » dans l’absolu. Le plus souvent, c’est parce qu’on rencontre des frictions, des trous dans la raquette ou une efficacité perçue comme insuffisante.
Autant les identifier de manière explicite.
Quelques signaux faibles à surveiller :
- Des leads mal gérés, ou mal suivis, qui tombent entre les mailles, ou sont rappelés trop tard.
- Des flous dans les passages de relais. Qui fait la démo ? Qui fait le devis ? Qui relance ?
- Un temps mal réparti entre les missions. Des commerciaux qui passent 80 % de leur temps à prospecter, mais qui doivent aussi gérer les comptes clients.
- Des tensions entre les rôles. Typiquement, des SDR qui trouvent que les AE ne rappellent pas assez vite ou des CSM qui doivent réparer la promesse commerciale.
Cette étape sert à prioriser les chantiers. Faut-il revoir les rôles ? Mettre en place des outils ? Mieux cadrer les process ? Le diagnostic guide l’action.
Étape #3 – Choisir un modèle adapté et progresser par étapes
Une fois le diagnostic posé, vient le moment de choisir une organisation. Mais attention : il n’existe pas de modèle “parfait”. L’enjeu est plutôt d’identifier celui qui correspond à votre contexte, tout en se laissant la possibilité d’évoluer.
Il y a 2 principes clés à garder en tête :
- Choisissez un modèle adapté à votre taille, vos ressources et votre maturité. Par exemple, inutile d’implémenter un modèle Pod complet si vous avez une équipe de 4 commerciaux. Un modèle hybride ou SDR + AE léger sera plus pertinent.
- Progressez par étapes. Rien ne vous empêche de commencer simple, puis de complexifier au fil de la croissance. Ce qui compte, c’est la clarté des rôles et la capacité à faire évoluer le cadre.
À ce stade, vous pouvez :
- Définir des rôles clairs (SDR, AE, CSM, etc.), même si une même personne en couvre plusieurs.
- Créer une roadmap d’évolution : quels recrutements à court/moyen terme ? Quel rythme de spécialisation ?
- Commencer à poser les bases d’une culture Sales commune : objectifs partagés, outils collaboratifs, points de synchronisation réguliers.
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Cartelis accompagne les entreprises (B2C & B2B, de la startup au grand groupe) dans le cadrage et le déploiement de Projets CRM Marketing et Data.
Découvrez nos cas clientsÉtape #4 – Manager efficacement l’équipe commerciale dans ce cadre
Une organisation commerciale, même bien pensée, ne fonctionne pas en pilote automatique. Pour qu’elle porte ses fruits sur la durée, elle doit être incarnée au quotidien. Ce rôle revient pleinement au management commercial, qui agit comme garant de la cohérence, de la dynamique et de la progression collective.
1 – Fixer des objectifs clairs et alignés
Le premier levier, c’est la fixation des objectifs. Pas seulement au niveau individuel, mais dans une logique d’alignement entre les rôles et avec les priorités business.
Cela suppose de bien calibrer les KPI :
- Des SDR, souvent orientés volume (nombre de leads générés, taux de prise de RDV),
- Des AE, qui doivent refléter la qualité des opportunités (taux de closing, taille moyenne des deals),
- Des CSM, si présents, en lien avec la rétention ou l’upsell.
Une erreur fréquente est d’encourager la quantité en amont du funnel sans garantir la qualité pour ceux qui prennent le relais. Ce type de décalage crée mécaniquement de la friction. Il faut au contraire chercher la cohérence dans la chaîne, quitte à fixer des objectifs partagés (par exemple, MQL > SQL > closing) ou à introduire des incentives croisés. Pour aller plus loin, on a rédigé un article sur l’art de gérer la rémunération des commerciaux.
2 – Mettre en place une boucle de feedback structurée
Un bon pilotage repose sur la capacité à observer, ajuster, améliorer. Cela passe par la mise en place de rituels concrets : des points hebdomadaires pour suivre l’activité, identifier les blocages et ajuster les priorités au fil de l’eau ; des revues mensuelles pour prendre de la hauteur, analyser la performance et redéfinir les axes de focus ; et enfin, des feedbacks à chaud directement dans le CRM, sur la qualité des leads, les motifs de perte ou encore les objections les plus fréquentes.
Cette dynamique permet d’éviter l’effet tunnel. Elle offre la possibilité d’ajuster en temps réel, d’ancrer l’organisation dans le quotidien des équipes, et surtout de faire du feedback un levier de progression, pas un simple exercice de reporting.
3 – Travailler la montée en compétence continue
Dernier pilier, souvent sous-estimé : le développement des compétences.
Structurer une équipe, c’est aussi lui donner les moyens de progresser :
- En interne, via du mentorat, des binômes, des débriefs croisés, des relectures de séquences ou des ateliers de partage de bonnes pratiques.
- En externe, avec des formations ciblées (négociation, gestion du temps, usage du CRM), du coaching individuel ou collectif.
L’enjeu est double : faire monter le niveau global et renforcer la culture d’apprentissage. Car une organisation commerciale performante est avant tout une organisation qui apprend vite et qui sait capitaliser sur ses succès comme sur ses échecs.
Cartelis vous accompagne dans l’organisation de votre équipe Sales
Structurer votre équipe commerciale, ce n’est pas une histoire de théorie. C’est un sujet d’efficacité, de management, de collaboration. Bref, un sujet business.
Chez Cartelis, nous accompagnons des dizaines d’entreprises B2B dans la structuration de leurs équipes Sales, en lien avec leurs enjeux CRM, Data, et RevOps.
Nous construisons avec vous un modèle qui vous ressemble : clair, opérationnel et évolutif.
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